5.7Km 2025-04-02
163, Bulguk-ro, Gyeongju, Gyeongsangbuk-do (Madong)
La maison hanok Cheongjae, située à Gyeongju, est un hébergement hanok au charme tranquille. Elle est recommandée à ceux qui souhaitent se détendre dans un espace entouré de pins. Sur réservation, un petit-déjeuner est également proposé, et l'espace de stationnement est ample, ce qui en fait un lieu idéal pour séjourner lors d'un voyage à Gyeongju.
5.8Km 2021-02-03
64-19, Imhae-ro, Gyeongju-si, Gyeongsangbuk-do
+82-54-779-6100
Le site du temple de Hwangnyongsa se trouve devant le temple de Bunhwangsa à Guhang-dong dans la ville de Gyeongju. A l’époque de la dynastie Silla, Hwangnyongsa était le plus grand temple de la nation et abritait un grand nombre de trésors bouddhiques appartenant au pays.
La construction du temple a débuté en 553 sur un terrain proche du domaine royal de Banwolseong sur ordre du roi Jinheung. Le roi avait d’abord prévu de bâtir un palais, mais a ensuite décidé de construire un temple à la place, après avoir reçu des rapports selon lesquels un dragon jaune aurait été aperçu à l’emplacement des travaux. C’est pourquoi le temple a été baptisé Hwangnyongsa, ce qui signifie “Temple du Dragon Jaune”. Sa construction a été achevée en 569, dix-sept ans après le début des travaux. Les murailles du temple sont ornées d’une ancienne peinture représentant un pin, exécutée par l’artiste Solgeo. A l’époque de la dynastie Silla, le temple était le centre du bouddhisme d’Etat.
Plus tard, alors que le moine Jajang étudiait dans le pays de Tang, il rencontra un dieu alors qu’il passait devant l’étang de Taihe. Le dieu lui dit : « Le dragon jaune, qui est mon fils aîné, garde le temple de Hwangnyongsa par ordre de Brahma le Créateur. Si tu bâtis une pagode à neuf étages à ton retour à Silla, les Etats voisins se rendront et paieront un tribut, et la royauté sera renforcée. Quand la construction de la pagode sera terminée, prépare un service commémoratif pour les dieux locaux et accorde le pardon aux criminels du pays. Si tu suis mes instructions, aucun autre Etat n’osera envahir Silla.»
Après cette rencontre, Jajang rentra à Silla et a convainquit la reine Seondok de bâtir la pagode à neuf étages. Le maître architexte Abiji, originaire du pays voisin de Baekje, dessina les plans de la pagode, et le projet fut réalisé par Yongchun et ses 200 hommes, en utilisant du bois et de la pierre. La nuit précédent l’édification des colonnes, l’architecte Abiji rêva de la chute de Baekje et refusa d’achever le projet. Dans un grondement de tonnerre, un vieux moine et un colosse apparurent soudainement dans le hall principal du temple, érigèrent les colonnes et disparurent par magie. Abiji fut si choqué par cette vue qu’il accepta la chute prochaine de son pays comme étant la volonté des dieux, et reprit les travaux du temple. (D’après le Samgungnyusa, les Mémoires des Trois Royaumes)
Dans les vingt-trois ans qui suivirent l’achèvement de la pagode, la reine Seondok unifia les Trois Royaumes. Plus tard, de nombreux lettrés reconnurent la contribution de la pagode à l’unification. Parmi les trois trésors de Silla (la statue de Jangyukjonsang, la pagode à neuf étages du temple de Hwangnyongsa et la Ceinture Céleste du roi Jinpyeong), deux se trouvaient au temple de Hwangnyongsa. La plus grande cloche se trouvait également à Hwangnyongsa, mais elle fut emportée pendant l’invasion mongole. Les pus hauts moines de Silla prêchèrent dans le temple, et de nombreux rois vinrent y recevoir les enseignements bouddhistes.
Durant les fouilles qui eurent lieu en juillet 1969, de grosses pierres de fondation du hall des sermons, de l’auditorium et de la pagode ont été retrouvées. Huit années de travaux archéologiques et d’études révèlèrent la structure unique du terrain du temple, qui consistait en une pagode et trois halls. On a également retrouvé environ 40 000 anciens objets. Même si les pierres de fondation et d’autres structures inférieures du temple ont été identifiées à travers les fouilles, il n’y a aucun indice historique de la structure supérieure du temple, ce qui rend pratiquement impossible sa restauration.D’après les résultats archélogiques, la surface du temple mesurait environ 70 acres, ce qui représente environ huit fois celle du temple de Bulguksa.
5.9Km 2020-09-08
5-6, Igu 2-gil, Gyeongju-si, Gyeongsangbuk-do
+82-10-4577-5223
Cheonggong Hanok is a mere 10 minutes away from Bulguksa Station (Donghae Line) on foot. The two traditional Hanok buildings house 10 rooms. Once you enter the main gate, the harmonious scene of a big grassy yard, a very old pine tree, a small pond, and the graceful Hanok buildings welcomes you. The garden looks a bit exotic, but there is a back story to it. The first architect of the house did business in Japan with his wife living alone in Gyeongju but regretted not having spent a long time with her; thus, he came back to Korea, built the biggest house possible, and lived with his wife for the rest of his life. Afterward, his descendants took over it, named it after the architect, Cheonggong, and opened it as a Hanok stay. That is how the space where Korea’s traditional Hanok and Japanese garden were put together by the Korean architect who did an extended stint in Japan came to be. The table used by the couple is preserved in the garden for guests to look at. Although it is a traditional Hanok, every room is equipped with a TV, a refrigerator, an air-conditioner, and a bathroom to make the space comfortable to stay even for children.
6.0Km 2025-03-27
385, Bulguk-ro, Gyeongju-si, Gyeongsangbuk-do
+82-54-746-9913
Le temple de Bulguksa et la grotte de Seokguram, situés à mi-chemin du mont Toham (745 m), qui "avale et recrache les nuages", sont au cœur de la brillante culture bouddhique de Silla. Ils ont été construits en la 15e année du règne du roi Beopheung de Silla, conformément au souhait de sa mère, pour assurer la stabilité du pays et la paix du peuple. Par la suite, en la 10e année du règne du roi Gyeongdeok de Silla (751), le ministre Kim Daeseong a reconstruit le temple et a renouvelé son apparence.
Après cela, durant la guerre Imjin, les bâtiments ainsi que des trésors précieux ont été presque totalement brûlés ou pillés. Avant 1920, seuls quelques bâtiments et pagodes étaient restés en ruine, mais grâce à de continus efforts de restauration et de reconstruction, le temple a acquis son statut actuel de grand temple, abritant sept trésors nationaux. En grimpant environ 3 km le long de la crête de la montagne (et 9 km par la route asphaltée menant à la grotte), on arrive à la célèbre grotte de Seokguram, connue pour abriter la statue du Bouddha assis, considérée comme un chef-d'œuvre de l'Orient, faisant face à la mer de l'Est.
Le temple de Bulguksa et la grotte de Seokguram ont été officiellement inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO le 6 décembre 1995, aux côtés du hall des écritures de Haeinsa et du sanctuaire royal de Jongmyo, ce qui les a rendus encore plus célèbres sur la scène internationale.
6.0Km 2025-04-04
102, Wonhwaro, Gyeongju-si, Gyeongsangbuk-do
+82-54-750-8655
Il est mentionné dans les chroniques des trois royaumes (Samguk sagi) que durant la 14ème année du règne du roi Munmu (661~681), un grand étang fut creusé et de petites montagnes furent construites dans l’enceinte du palais. De belles fleurs furent plantées et on fit venir des animaux rares afin de créer un jardin extraordinnaire. C’est en fait à Wolseung, une forteresse érigée en 101 que l’on peut trouver ce fameux étang de Anapji. En 1974, une fouille archéologique révèle une forme sphérique de 200 m sur 180 m indiquant l’étang ainsi que trois îlots de tailles différentes. Grâce à des efforts de restauration, l’étang de Anapji peut-être vu dans une forme proche de sa splendeur d’origine..
Les vestiges de Imhaejeon
Imhaejeon était l’un des palais secondaires de la famille royale de Silla, il était utilisé par le prince héritier. Le nom de Imhaejeon est en fait le nom du bâtiment le plus important du site et les chroniques historiques s’y réfèraient souvent pour parler de l’ensemble du site.
Une fouille archéologique a permis de découvir plusieurs bâtiments, des corridors, l’étang d’anapji, et cinq tours dans la partie la plus à l’ouest du site. Certains bâtiments ont été restaurés d’autres ont été laissés tel quel, ne laissant apparaître que les pierres angulaires.
6.0Km 2020-04-15
186, Iljeong-ro, Gyeongju-si, Gyeongsangbuk-do
+82-54-740-7500
La cloche divine du roi Seongseok est la plus grande cloche coréenne conservée à ce jour. Elle mesure 3,75 m de haut, 2,27 m de diamètre de pince et de 11 à 25 cm de large. Son poids affichait 18,9 tonnes lorsque le Musée National de Gyeongju l’a fait peser en 1997. La cloche fut façonnée pour rendre hommage au roi Seongdeok. Elle fut terminée en 771 et baptisée « cloche divine du roi Seongdeok ». Toutefois, comme elle avait été installée dans le temple Bongdeoksa, on l’appelait également « cloche de Bongdeoksa ». La cloche était également connue sous le nom de « cloche Emillé », d’après une légende selon laquelle un enfant serait offert en sacrifice pour permettre à la cloche de produire des sons. Le son « em-ee-lé » évoque un mot en coréen traditionnel qui signifie « maman ».
Le tuyau tubulaire situé au sommet de la cloche, qui aide le son à résonner, est une caractéristique unique des cloches coréennes. Le yongnyu, l’anneau qui sert à accrocher la cloche, a été décoré en forme de tête de dragon. Des motifs en arabesque se trouvent sur l’épaule, et l’endroit où l’on frappe la cloche est en forme de lotus. Sa magnifique conception et ses méthodes de gravure personnifient les talents des artisans de la période Silla unifiée. Plus de mille caractères chinois sont gravés sur la cloche, et sa beauté et son intégrité ont été soigneusement préservées bien que 1 300 ans se soient écoulés.
6.1Km 2023-01-12
186, Iljeong-ro, Gyeongju-si, Gyeongsangbuk-do
+82-54-740-7500
Le Musée National de Gyeongju abrite de nombreux vestiges culturels de la période de la dynastie Silla.
Le musée offre de nombreuxd programmes ludiques pour en apprendre plus sur la période notamment via l'Ecole du Musée des Enfants.
6.3Km 2023-01-12
387-1, Inwang-dong, Gyeongju-si, Gyeongsangbuk-do
+82-54-779-6100
Le nom de la forteresse signifie "une forme de croissant de lune sur le sommet d'une colline".
Les livres d'histoire mentionnent que Samgukyusa Shilla, le 4e roi Seoktalhae (AD 57 ~ 80), avait estimé que cette région était un endroit idéal pour la forteresse avant d'acquérir le terrain auprès d'un seigneur. La zone a ensuite été sous la domination Shilla pendant 900 ans.
6.4Km 2020-04-15
17, Namsan 1-gil, Gyeongju-si, Gyeongsangbuk-do
+82-54-779-6079
Situé au pied de la montagne Namsan à Gyeongju, l’étang de Seochulji remonte à l’époque des Trois Royaumes. On y trouve deux pagodes de pierre à trois étages au coeur du village de Namsan, et un élégant petit étang à l’Est. Cet étang est célèbre grâce à cette légende coréenne :
Durant la 10ème année du règne du roi Soji (448) de la dynastie Silla, alors que le roi se rendait à la montagne de Namsan, il fut approché par un corbeau et une souris. La souris dit au roi de suivre le corbeau pour que son voyage soit facile. Ainsi, le roi et le serviteur qui l’accompagnait suivirent le corbeau mais furent distraits en chemin et se perdirent. Alors qu’ils erraient près d’un étang (à présent connu sous le nom de Seochulji), un vieil homme apparut depuis les profondeurs de l’eau et présenta une enveloppe au roi. Suivant les instructions du message contendu dans l’enveloppe, le roi ordonna à son serviteur de tirer une flèche sur l’étui de Geomungo (instrument de musique coréen) qui se trouvait non loin. La flèche tua la reine et un moine qui se cachaient là, tous deux complotant contre le roi.
Cette légende donna à l’étang son nom « Seochulji », qui signifie « écrit de l’étang ». On raconte qu’un homme nommé Imjeok a construit un bâtiment près de cet étang pendant la 5ème année du règne du roi Hyeonjong (1664)pour y admirer le paysage. Ce bâtiment simple mais élégant se dresse toujours au Nord-Est de l’étang.
6.4Km 2023-04-26
449-1, Inwang-dong, Gyeongju-si, Gyeongsangbuk-do
+82-54-779-6100
Seokbinggo veut dire un entrepôt (go) fait de roches (seok) glacées (bing). Autrement dit, c’est un congélateur de l’antiquité qu’on ne peut trouver dans aucun pays du monde sauf ici, en Corée du Sud, dans la ville de Gyeongju, l’ancienne capitale de la Dynastie Silla (BC57-AD935). Cependant, l’apparence extérieure de ce vestige merveilleux se distingue par son côté humble et simple. La moitié de Seokbinggo se trouve sous le sol tandis que l’autre moitié est en surface ce qui montre qu’il ne faut pas oublier la propension scientifique de la Corée antique.
Le sol, les murs et le plafond sont faits de granite et ont été recouverts d’une couche de terre où on peut voir une prise d’air. Les murs sont faits de pierres à chaux pour empêcher la moisissure et l’humidité. Le sol est incliné pour permettre à la glace fondue de se canaliser. La glace conservée de cette façon était une sorte de snack apprécié en été, notamment par la classe supérieure. De façon à ce que la glace ne fonde pas, on utilisait de la paille comme matériel de refroidissement.
D’après les annales historiques, on estime que Seokbinggo a été réalisée il y a au moins 1.500 ans. Seokbbingo a été désigné Trésor National No.66.